Collection Escorte. Comment JAi Débuté Dans Le Métier. Saison Ii (7/8)
Avec Aurélie, nous finissons notre nuit certes fatiguée, mais avec de belles enveloppes dans nos sacs.
Ma nouvelle amie a été à la hauteur, acceptant même de se faire prendre en double pénétration.
Jai trouvé là mon double, acceptant de se prosti pour atteindre son but.
Pour moi ce sont des études dans lune des écoles les plus huppées de France.
Elle des études de pharmacienne afin dacheter une officine à Reims dans le paradis des vins de Champagne.
Le champagne, breuvage qui ma propulsé dans le milieu où jévolue maintenant.
Le champagne que je débouche, mes moyens augmentant, javais pris lhabitude de me faire livrer une caisse de temps en temps.
Aurélie a fait venir une caisse de ce breuvage grâce par un copain qui évolue dans ce milieu.
Mais je vais un peu vite, en ce moment nous venons de seller notre accord avec Louis.
Nous quittons son appartement où Aurélie l'a fessé.
Jai fait dune pierre deux coups, lui faire plaisir, pour quil gère au mieux nos intérêts qui vont se mettre à flamber, je le sens
Véronique de son côté cest rendu à son rendez-vous en bonne sur. Le client a apprécié.
Quand je la retrouve elle veut me raconter point par point ce que son client lui a demandé et massure qu'il a apprécié sa prestation.
Je lui clos la bouche, je connais par cur le cheminement que ces hommes vont lui faire emprunter.
Nous sommes des putes, dune façon ou dune autre, notre travail est toujours le même en surface.
Mais il faut trouver le vice ou le fantasme qui les anime et qui les fera nous payer si chère.
Ce soir, cest ma première dans le palace de Christian.
Jarrive ma valise étant déjà dans la chambre du client.
Cest un des points quil ma appris, ici, je suis une cliente à qui il remet un badge pour ouvrir la porte.
Jai réservé une chambre que je rejoins évitant à tous de montrer le travail que je viens faire.
Cette clef magnétique est la copie conforme de celle quil a donnée à mon client, si un doute pouvait se faire jour, jétais sa femme le rejoignant.
Sur la table de nuit, une enveloppe, les 5 000 sont là.
À part le cadre somptueux, plusieurs différences ce soir, je dois me montrer au bras de mon mari dans la salle du restaurant.
Je suis fille dagriculteur dans ma vie de tous les jours, mais maman ma appris à me tenir et cest sans problème que nous quittons le restaurant pour retrouver les ascenseurs.
Cest un Américain, texan la soixantaine avec qui je monte, il a bu deux bouteilles, lune de Bordeaux et lautre de champagne.
Je lui ai fait commander de leau plate, je veux éviter les bruits disgracieux que peut faire mon estomac au contact des bulles.
Je parle anglais, lui américain.
Il est jovial, parle fort, je comprends quil va me mettre au taureau comme il le fait avec ses vaches.
Toutes les têtes qu'il possède pourraient chambouler bien des femmes.
À deux heures du matin, il se met à genoux et sort de sa poche une bague, certainement du toc, mais ce diamant pourrait faire craquer bien des salopes.
Je reste froide, il paye, le reste, cest son problème.
Je le suce consciencieusement, les Américains sont excentriques, mais pudiques, il refuse de me sucer la chatte.
Je manque déclater de rire, jai réussi à le dénuder, mais il souhaite aller aux toilettes.
Il se lève, enfile ses bottes de cow-boy et traverse la chambre fièrement, mais un peu château branlant, alcool oblige, surtout quen entrant dans la chambre il a fait péter un bouchon.
Il monte sur le lit toujours bottes aux pieds.
Cest à ce moment que je me rends compte quil dort, dans les autres hôtels ayant été payé, je serais partie.
Là, je suis les directives de Christian, éviter les scandales et attendre que le client vous autorise à partir, il dort, je dors.
Jai envie dun bain quand je me réveille, jai surtout envie de me prélasser dans ce bain bouillonnant avec des senteurs tirées des flacons qui sont posés à porter de mes mains.
Cest à ce moment que mon Texan me rejoint, il entre dans la baignoire avec ses bottes.
Je comprends quil a commandé un petit déjeuner, je suis prête à le satisfaire pour remplir mon contrat, il sort de leau, part dans la chambre ses bottes remplies deau savonneuse faisant le genre de bruit que je voulais éviter.
Je sors à mon tour de leau, il a changé ses bottes et remis sa tenue de cow-boy avec dautres bottes, quil a récupérées dans son placard.
Là encore, je veux quil me baise, jai limpression que je vole mon argent.
Mieux que cela, je comprends quil a une réunion à Rungis avant de reprendre son avion pour Houston.
Il avale une tasse de café sort son portefeuille et me donne une liasse, je devrais dire toute la liasse quil pose près de mes croissants.
Sans à aucun moment sauf une sucette sans éjaculation, il me quitte, baratinant dans son anglo-américain plein dalcool.
Une fois quil est sorti, je compte les billets de 100 $ au nombre de 20 soit 2 000 $ de pourboire, ça montre sa satisfaction.
Dans lenveloppe, avant de descendre au restaurant, javais vérifié.
Il y avait bien 5 000 , je passe à laccueil, Christian est encore là, semblant mattendre, je lui rends la carte, avant de sortir.
En même temps que la carte, je lui donne sa liasse de billets.
- Il ma payé en dollars, voilà tes 500, appelle-moi très vite, jadore ton palace.
En lui donnant des dollars, jévite la perte au change et la perte entre les deux monnaies, ça sappelle le bizness.
Cest la soirée la plus rentable dans mon métier, même si quelques semaines après, un jeune émir veut me promener dans Paris.
Il réclame deux filles.
Une blonde une rousse, comme pour la tenue de none, un passage chez mon coiffeur et il a ce quil veut, là encore il faut savoir sadapter.
Il faut penser à tous, même à nos chattes, une teinture de rousse est nécessaire pour Véronique, je suis intégralement rasée.
Véronique et Anabella se mettant à sa disposition, il nous exhibe dans tous Paris.
Berline de luxe, robe du soir, resto et boîte branchée.
Nous nous retrouvons dans le quartier VIP.
Aurélie est aux anges, surtout quand nous le quittons, nous avons presque vingt mille euros chacune, bien loin des 5 000 prévus.
Bien sûr nous finissons dans son lit, il semble vouloir nous faire voir lhomme puissant sur tous les plans quil est.
Placé en levrette, il passe de lune à lautre, souhaitant que nous nous gouinions, là pour Aurélie aucun problème, cest ma rosette quil investit.
Quand nous descendons, nous faisons passer 2 000 à Christian dans une enveloppe, il a fini son service et je donne 100 au réceptionniste présent, il faut entretenir lamitié.
À lintérieur, jai glissé deux de nos cartes, ça peut servir.
Nous sommes bien vêtus comme de grandes dames, mais les putes que nous sommes ressortent à lil averti de ces garçons qui doivent en voir tous les jours.
Louis tient à jour nos revenus, nous nous relayons pour quil ait une maîtresse quand les chiffres sont bons et ils le sont chaque mois.
Un seul problème nos études, il mest arrivé daccompagner un client à Londres étant dans limpossibilité de travailler.
Aurélie a le même problème, jentrevois ce qui va nous arriver, mais voulant lui laisser ses illusions de boutique de pharmacie.
Je me tais, la boutique, elle pourra se la payer, mais sans ses diplômes.
En fin dannée universitaire cest confirmé, nous sommes boulées toutes les deux.
Je pars huit jours en vacances en Bretagne, je leur fais croire que tout roule pour moi.
Dans le même temps, Aurélie en fait de même à Reims, nous nous retrouvons avec délice.
Jai assez de bite à mon tableau de chasse pour trouver le repos dans ses bras.
Jadore de plus en plus lui faire des feuilles de rose, elle adore men faire aussi.
- Aurélie, je te vois anxieuse, car nous avons loupé notre année.
Je viens davoir Louis, il a eu lidée de faire une proposition à la mémé propriétaire de cet appartement.
Elle souhaitait faire des cadeaux à ses petits-s, nous avons rendez-vous chez le notaire, en plus du studio, maintenant, tu es chez toi.
Heureusement nos téléphones sont restés calmes ce soir.
Tout va bien jusquà la fin de lannée.
À Noël, Aurélie ayant fait un client au palace lui ayant laissé autant dargent que mon Américain, memmène au soleil de Saint-Barthélemy.
Maman est contente que je parte en vacances au soleil, même si pour la première fois depuis que je suis née, Noël se passera loin deux.
Tout va bien jusquà fin février, Louis se fait régulièrement fouetter, nous adorons le dominer, je viens de rentrer mon bras fatigué, il faut que nous tapions de plus en plus fort.
- Guénaelle, peux-tu me dire à quoi ceci correspond, tu es devenue une pute.
Nous sommes en mars, cest mon père qui me dit ces mots.
Je les prends comme un coup de poing, ils sont là devant moi avec maman, jai dit quil fallait réfléchir vite, même si jai foiré mes études, mon cerveau est toujours actif.
- Papa que me dis-tu là, tu es ici chez mon amie qui mhéberge.
- Bonjour monsieur, Madame.
Cest Aurélie qui est venue aux nouvelles ayant entendu les cris de mon père.
- Quand elle est arrivée à Paris, elle a rencontré les mêmes problèmes que jai eus avec largent malgré votre aide.
Jai eu la chance de trouver ce travail, cest là que nous sous sommes connues, mais entrez, il fait froid dehors.
Mes parents entrés, je les conduis dans le salon.
- Non elle a rencontré un homme de ton âge qui a été pour elle son mécène.
Il sappelait Louis, je te vois froncé les sourcils papa.
Il la juste aidé après lavoir rencontré dans les jardins du Luxembourg où elle travaillait ses cours.
À aucun moment, cet homme a eu des gestes déplacés jusquà lan dernier où il est mort.
Il lavait adopté, elle a hérité, depuis nous habitons ensemble.
Il était propriétaire de cet appartement qui est le sien maintenant.
- Tu vis aux crochets de cette jeune fille si je comprends bien
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